H I M A L A Y A

par Min  -  10 Février 2018, 05:00  -  #VU d'ailleurs

Himalaya, continuation de la longue marche, de Lukla vers le camp de base de l'Everest, versant Nepal, deuxième partie.

 

L'auteure des photos m'a fait remarquer quelques erreurs chronologiques dans la première partie. L'ordre des changements climatiques et écologiques lors de la montée en altitude n'a pas été respecté dans la mise en page. Ça se remarque surtout dans la flore. 

Bon. Punition. Alors je prend mon courage à demain (devise procrastinatoire) et comme Sisyphe, je repars d'en bas. 

C'est dur la montagne...

 

N'oubliez pas de cliquer sur les images pour les agrandir

et d'activer les flèches > et < pour feuilleter. 

 

 

 

 

H I M A L A Y A
H I M A L A Y AH I M A L A Y A
H I M A L A Y AH I M A L A Y AH I M A L A Y A
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À partir de 3900m la végétation se raréfie... À partir de 3900m la végétation se raréfie...
À partir de 3900m la végétation se raréfie...
À partir de 3900m la végétation se raréfie... À partir de 3900m la végétation se raréfie...

À partir de 3900m la végétation se raréfie...

Pour laisser la place à la rocaille, puis à la glace, la neige, le froid, l'air s'appauvri en oxygène, les marcheurs ralentissent. Le port de crampons s'impose pour la traversée de glaciers.Pour laisser la place à la rocaille, puis à la glace, la neige, le froid, l'air s'appauvri en oxygène, les marcheurs ralentissent. Le port de crampons s'impose pour la traversée de glaciers.
Pour laisser la place à la rocaille, puis à la glace, la neige, le froid, l'air s'appauvri en oxygène, les marcheurs ralentissent. Le port de crampons s'impose pour la traversée de glaciers.Pour laisser la place à la rocaille, puis à la glace, la neige, le froid, l'air s'appauvri en oxygène, les marcheurs ralentissent. Le port de crampons s'impose pour la traversée de glaciers.
Pour laisser la place à la rocaille, puis à la glace, la neige, le froid, l'air s'appauvri en oxygène, les marcheurs ralentissent. Le port de crampons s'impose pour la traversée de glaciers.Pour laisser la place à la rocaille, puis à la glace, la neige, le froid, l'air s'appauvri en oxygène, les marcheurs ralentissent. Le port de crampons s'impose pour la traversée de glaciers.
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Pour laisser la place à la rocaille, puis à la glace, la neige, le froid, l'air s'appauvri en oxygène, les marcheurs ralentissent. Le port de crampons s'impose pour la traversée de glaciers.

H I M A L A Y A
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H I M A L A Y A
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Et maintenant il ne reste plus qu'à redescendre... Et ce n'est pas le plus facile, pensent les valeureux Yaks .Et maintenant il ne reste plus qu'à redescendre... Et ce n'est pas le plus facile, pensent les valeureux Yaks .

Et maintenant il ne reste plus qu'à redescendre... Et ce n'est pas le plus facile, pensent les valeureux Yaks .

Ce " fake " inspiré de Tintin est l'oeuvre de mon ami Joël Vissault, dont je vous présenterai un jour les essais numériques, humoristiques, satiriques, esthétiques ( il ne jure que par le nombre d'or ) et tout ça...

Ce " fake " inspiré de Tintin est l'oeuvre de mon ami Joël Vissault, dont je vous présenterai un jour les essais numériques, humoristiques, satiriques, esthétiques ( il ne jure que par le nombre d'or ) et tout ça...

À venir :

Après être redescendue de la montagne, comme elle avait marché bon train, Min avait de l'avance sur son vol de retour. Elle a donc passé deux jours à flâner dans Katmandou. Prochainement quelques photos de cette étape urbaine termineront ce beau voyage effectué en solitaire. GP

Photographies © Min S. Chuah-Petiot

Texte et mise en page de Gérard Petiot

En prime, un fake de Jouël.

R
J'ai parcouru le monde mon sac photo accroché à l'épaule mais aujourd'hui mon corps refuse ce genre d'exercice. Merci d'y être allé pour nous tous.Superbe reportage.
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Magnifique reportage. Pouvoir poser ses pas dans l'ascension de ce sommet mythique est un rêve hélas inaccessible pour moi vue mon grand age. Dans une autre vie peut être ...
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M
Félicitations Min, un très beau périple que tu nous fais partager, de nombreuses et belles images . Une question que Philippe n'a pas posée : les banderoles de fanions de couleurs, c'est pour quoi ? Minouche
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C
Botaniste, alpiniste, photographe, bravo Min !
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C
Après avoir vu ce magnifique reportage je ne peux que de citer Confusius: « Tous les hommes pensent que le bonheur est au sommet de la montagne alors qu’il est dans l’art de la gravir. »
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C
Bien sûr, je reste toujours impressionné comme vous par la performance de l'"auteur" de ces images qui reviennent de loin, ... et de haut! Au delà u monde minéral, la flore himalayenne est-elle très différente de celle de nos bonnes Alpes françaises?<br /> Je pense à l'orchis vanillé, aux gentianes sous toutes leurs formes et couleurs, les saxifrages, les dryades, les silènes acaules, les épilobes, les petites et grandes astrances, les safrans etc, .... selon les altitudes ...<br /> Denis
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G
Je reprend ma réponse hâtive... La réponse de Min par contre est plutôt sibylline.<br /> Sa randonnée eu lieu en début d'hiver et la flore dont tu parles était en dormance, donc pas de fleurs. D'autre part, l'observation de la végétation n'était pas dans son programme. D'après elle, il est possible que l'on retrouve des espèces semblables dans ces deux localités différentes. La végétation dépend de la combinaison de plusieurs critères principaux : L'altitude, la latitude, la composition des sols (pour les plantes terrestres), etc. Des micro-climats très restreints peuvent aussi exister. Certaines plantes sont d'origine locale, d'autres ont été introduites par l'homme. Par exemple, les rhododendrons sont d'origines asiatique, et auraient été introduits au Pays de Galle où ils se seraient bien adaptés. Tu peux trouver dans Internet des paysages magnifiques pleins de rhododendrons en fleurs au printemps au Nepal. Je t'invite à fouiner dans la toile.<br /> http://www.floraofnepal.org/imagegallery<br /> https://www.youtube.com/watch?v=sMnUIec3Emg
G
Très bonne question. Je dirais OUI, mais je vais demander à la botaniste de nous formuler une réponse plus détaillée. À suivre...
P
Les nombreuses photos sont superbes et illustrent bien la grande difficulté de cet exploit réalisé par Min.<br /> Gérard ne nous dit pas comment elle s’est préparée physiquement à cette « promenade ». le dénivelé, l’altitude, la traversée de pierriers, la marche dans les glaciers avec des crampons, cela ne s’improvise pas …<br /> Autre question ou vont les deux fauteuils ? , dans une résidence secondaire à 4000 M d’altitude, avec les panneaux d'aglo ?
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G
Ce ne sont pas les bagages de Min que vous voyez... Les nombreux porteurs et les Yaks font des navettes pour approvisionner les villages d'altitudes ( voir la carte ) et les sortes de refuges / hôtels installés sur la route qui mène au camp de base. Tout est transporté à dos d'hommes et de Yaks, les bouteilles de gaz, l'eau potable, les matériaux divers pour la construction, etc. Pour ce qui est de la préparation de Min, rien de spécial, mais quand nous étions au Kenya et ça je ne vous l'ai pas encore raconté, nous avons fait ensemble et avec notre fils et des amis de nombreuses randonnées en haute altitude, au Mont Kenya, au Kilimandjaro, aux Monts Aberdares. Ces expériences comptent. Aussi, il faut être en bonne forme physique, évidemment les articulations, la colonne vertébrale, le coeur, et être prêt à marcher plusieurs heures pendant plusieurs jours. Ce n'est "que de la marche" sur des sentiers muletiers dans un environnement plutôt rébarbatif. Il faut de bonnes chaussures, des bâtons de marche, boire beaucoup d'eau, ne pas manquer de sucre, marcher lentement. Au dessus de 4000m, en cas de mal de tête, et d'autres symptômes du mal des montagnes, il faut impérativement s'arrêter et redescendre en altitude, voire abandonner la randonnée, sans attendre. Persévérer peut être très dangereux. Min m'a raconté que des hélicos médicalisés font des navettes incessantes pour évacuer les randonneurs mal en point. Ce parcours est très fréquenté, un peu trop même... L'environnement naturel dérouille.
J
J'en ai les reins en compote!
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H
Merci pour ce beau voyage !! Les photos sont superbes !!
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